Tu aimes la guerre et les champs de batailles, voir les autres tomber à tes pieds. Sous les bruit de talons, tu es là et tu attends une seule chose : passer à l'attaque. Quelle plaisance d'enfoncer farouchement sa hache, son épée ou autre arme dans le corps de son ennemie. Pour toi, il n'y a rien de mieux.  De la cruauté ? Non. La guerre. L'amour du champ de bataille. Tu n'es pas méchante tu as seulement soif de combat. Frotter ton épée contre celle ennemie. Le bruit du métal s'entrechoquant, les éclats de fer voltigeant auprès des étincelles de flamme. Têtue et bornée tu n'as confiance en personne. Jamais, jamais ! Ce n'est pas que tu es insociable, tu ne vois pas d'intérêt à aller voir les autres. Mais pas simplement cela, tu n'as aucune envie de redonner confiance à quelqu'un. Tous sont ennemis. Sérieuse, sincère et intelligente. Un peu trop franche, des fois. Rares sont les personnes qui t’apprécient. Beaucoup d'ennemis, aucuns amis. Beaucoup de connaissance aucune confidente. Farouche un peu, tel un animal sauvage...

Oh, elfe à la beauté d'une nymphe. Tu es belle, grande, mince. Blonde aux cheveux mi-long. Deux prunelles vertes et rondes sont tes yeux. Tu mesures plus d'un mètre soixante pour cinquante cinq kilos. Membres fins et longs, agiles et forts, au formes généreuses... Belle et précieuse comme un diamant, ton âme est pourtant noir comme une onyx et écarlate comme un rubis. Ton tour de poitrine se limite à un 95C. Tu chausses du 37 et ton tour de taille se situe dans les 70 et 80 centimètres. Belle et gracieuse dans chacun de tes pas, tu es bien inconsciente de ne pas utiliser ton somptueux corps à ta guise. Fier, toujours droite, tu as de l'allure. De grandes oreilles d'elfe, mesurant 15 centimètres surmonté de deux boucles d'oreilles dorées. Tes jolies petits yeux de biches verts accompagnent ton jolie petit minois qui parait fragile.. Tes lèvres couleurs framboise embrasse ton arme, ton nez est fin et délicat. Un visage élégant et agréable qui n'est pourtant jamais embelli d'un sourire, ou d'une once de gaieté.

Tout a commencé le jour où le ciel était rouge, où l'air était imbibé de sang. La terre tachée, l'herbe sèche, la température allait au delà des 40 degrés.. Pourtant, ça n'empêchait pas une femme de donner vie à son enfant. Cachée sous des mines. Pendant qu'elle donnait naissance à sa chère petite fille, le sol tremblait sous les pas acharnés des hommes combattants. Elle eut beaucoup de courage. La jeune mère prit alors son enfant dans ses bras et lui dit avec beaucoup d'espoir dans la voix : « Chaque jours, chaque nuit, je serais là et je veillerai sur toi. Crois en moi, fais confiance à ton destin et tu t'en sortiras. Je t'aime.. Hunter. » Ce sont étés ces derniers mots avant que la jeune maman rendit son dernier souffle. Ce sont quelques jours plus tard que nous avons retrouvé l'enfant. La vieille femme eut  des funérailles dignes de ce nom. Mais cela n'étonnait personne, puisque c'était la reine des elfes. Le père, lui, était mort pendant la guerre. Il ne restait plus que l'enfant. Et l'enfant, c'était toi. Une nourrice te prit sous son aile et elle t'éleva comme sa propre fille. Elle était devenue ta mère. Tu ignorais que ton sang était royal. Seulement, tu étais la seule à ne pas le savoir.. A ton adolescence, les garçons plus jeune, du même âge et même plus vieux te désiraient. Tu n'en fis jamais attention. Mais un jours, un jeune homme, lorsque tu avais 15 ans, te plus beaucoup. Tu tombas follement amoureuse de lui. Vous filiez le parfait petit amour pendant plus d'un an. Jusqu'au jours où tu découvris qui tu étais vraiment.Tu eus un choc terrible et tu pleuras pendant des jours et des semaines ! Par la suite, tu allas le voir et le pris dans tes bras :
«_ Je t'aime... »
Tu espérais plus que tout qu'il te console, qu'il te dise qu'il t'a toujours aimé et qu'il t'aimera toujours. Et c'est ce qu'il fit.
«_ Je t'aime.. aussi. Ta couronne ne m'intéresse pas. »
Tu fus soulagée et heureuse. Malheureusement, il mentait. Et c'est quelques jours plus tard que tu t'en rendis compte.
Vous étiez dans un immense arbre, à regarder les étoiles, la nuit. Vous étiez si heureux. Tu avais confiance en lui. C'est alors qu'il te prit par le bras et te demanda de le suivre. Sans hésiter, tu acceptas naïvement. Jamais tu ne t'aurais douté que cela se passerait. Tu étais jeune, naïve et désespérée. L'annonce que tu étais princesse, la mort de tes parents..! Il te fallait du réconfort, et lui, il était arrivé au bon moment. Il t'emmena alors chez lui. Sans te brusquer, il te fis à manger, te proposa à boire. Il était au petit soin. Il t'emmena alors doucement dans sa chambre et ferma la porte à clé. Il te demanda de chercher un livre plus loin pendant qu'il cachait vigoureusement les clés. Tu étais maintenant enfermée avec lui dans la chambre. Tu ne te doutais de rien. Tu lui apportas le livre et vis la porte fermée. Tu lui demandas alors pourquoi l'avait-il fermé. Il te répondit nerveusement que c'était pour être un peu plus tranquille. Tu le crues et partis t’asseoir sur le lit, tout en regardant le livre. Optant pour un sourire sadique il s'approcha de toi. Il s'assis sur le lit et se joins à ta lecture. Les minutes passaient doucement, il n'attendait qu'une chose. Quand tu relevas la tête, il te regardait le visage doux. Tu souris et doucement il commença à t'embrasser goulûment. Il te plaça le dos sur le lit mais tu le repoussas. Il te demanda alors pourquoi mais tu ne répondis pas, l'air gêné. C'est alors farouchement qu'il te crias en te plaquant sur le lit qu'il avait envie de toi. Et plus particulièrement de ta couronne. Tu ne pouvais pas le croire, impossible. Il blaguait ! Voilà se que tu te disais.. Mais, ce n'était pas le cas.. Il grillait les étapes secondes par secondes. Paralysée, le regard dans le vide, au fond de toi la panique t'avais pris. Ton souffle se fit alors plus rapide et tu crias. Il te fis taire en continuant de t'embrasser langoureusement. Les larmes coulaient... Tu avais peur.. Comment il pouvait faire cela ? Pourquoi !? Toute la confiance que tu lui portais s'envola laissant place à des pleures. Farouchement, il t'enleva tes vêtement et fit ce que tu redoutais tant. Les minutes passaient il ne se lassait pas. Et d'un élan violent tu lui mis un coup de boule qui le fit tomber. Les visage en larmes tu accourus à la porte. Fermé. Ton cœur battait à mille à l'heure et tu te projetas à le fenêtre. Coincée. Tu donnas des coups sur les murs mais ça ne servait à rien. Il apparut alors derrière toi et t’assomma. Quand tu te réveillas, tu étais dans son lit, il n'était plus là. La première chose que tu fis, c'est de vérifier si les porte et la fenêtre étaient bien fermé. Hélas, oui. Te voilà séquestré dans sa chambre. Et pendant plus d'un moi, il vint tous les soirs à la chambre et te fit subir comme la première fois. Heureusement pour toi, on se rendit compte de ta disparition. L'on savait avec qui tu avait été vu en dernier. A diverses reprises, ils vinrent chez ton ravisseur mais à chaque fois, il t’assommait et te cachait qu'ils ne puent jamais et retrouver. Ils cherchaient alors partout. Rien. Alors, une dernière fois, ils vinrent chez lui à l’improviste. Lui, essayant de leur couper le passage mais il n'était pas assez fort. Ils défoncèrent la porte de la cambre et te trouvèrent. Par terre, traumatisée et faible. Le lendemain, il fut pendu mais jamais tu ne pues lui pardonner. La confiance avait déjà été épuisée par cet infâme. Jamais tu ne referas confiance. Aujourd'hui, tu te défoule en faisant la guerre, en enchaînant les combats imaginant que ta cible, c'est lui. Tu as abandonné pour un certain temps la royauté pour te focaliser sur le champs de bataille. Ta devise ? « Je suis née sur le champs de bataille et j'y mourrai. » Il t'avait fait devenir plus forte, tu ne peux que l'en remercier. Malheureusement, il n'y avait qu'un bon côté... Non, deux. Lorsque tu étais en dessus de ce monstre lors de ces viols, une chose t'était apparu. Sous tes yeux paniqués et répugnés,tu avais vu une silhouette. Celle de ta mère te répétant ces mots «  Chaque jours, chaque nuit, je serais là et je veillerai sur toi. Crois en moi, fais confiance à ton destin et tu t'en sortiras. Je t'aime.. Hunter. » Aurais-je oublié ? Oui... L'on t'avais donné le nom d'Adélaïde. Mais quand tu as été retrouvé Tu ordonnas que l'on t'appelle Hunter. Le nom que t'avait donné ta chère mère avant de perdre l'âme. Tu pensais aussi que c'était grâce à elle, qu'à la dernière visite chez cet abominable personne, l'on t'a retrouvé...