Tu étais là, attendant l'heure. Tu regardas dehors, une foule... des hommes, des Elfes, des Lutins ou encore des Loups-Garous attendaient... C'était tous les mâles... Tu savais pourquoi ils étaient là. Non pas seulement pour les Bières ou les Cervoises, Non, mais pour autre chose aussi... Ils étaient là pour toi. Dong, Dong... L'horloge sonna vingt heures... C'était l'heure. Tu entendis du bruit. Dehors, sa s'agitait. Ils avaient entendus l'heure... Ton patron sortis de son bureau. Il te contempla... Commençant par les pieds, il remonta, doucement... Il s’arrêta au niveau de ta poitrine. Les muscles de son cou brandirent... Il te désirais. Tu le savais. Il aurait tant aimé recommencer, comme toutes ces nuits... Après t'être "occupé" d'un client... lui "préparant" son bain... Le rejoignant... souvent... Après, il y avais dans le lit de ton client... tu devais le lui préparer avec... disons... sensualités ! Ses deux choses te prenaient quatre heures... Lorsque tu avais fini, il devais être une heure du matin le plus souvent... Tu t'en allais, exténuée... Alors, pensant a rentrer chez toi, dans la forêt, pour te reposer, tu ne t'attendais jamais a te faire attraper par le bras et de te faire tirer vers l’intérieur d'une chambre contre ta volontés. Cette chambre, toujours la même... celle de ton patron. Tous les soirs, après avoir longtemps "amadoué" le client, tu était tirée et désirée par ton patron... Il ne se gênais pas pour le montrer, et avais ce qu'il voulais: toi ! Tous les soirs se repentaient la même chanson... Il te jetait sur son lit, puis te déchirais tes habils que tu avais pris le soin de ne pas froisser juste avant. Toujours pareille, et il ne se lassait jamais... a croire qu'il n'avait rien d'autres a faire que de coucher avec toi... Non, sa n'était pas du viol, tu le savais, car tu ne résistait pas... Tu te laissais faire, sans un mot car la fatigue prenais le dessus... Il le savais, c'était pour ça qu'il te voulais, si tôt le matin... sa durais de nombreuses heures, toujours... Tu repartais toujours le matin, vers six heures et demis... crevée comme jamais !

Tu te tiras de tes pensées. Il te regardais toujours avec envie... tu décida de l'ignorer, pris le plateau en argent avec lequel tu travaillait tous les jours. tu t’ébouriffa un peu les cheveux d'une main tout en restant bien coiffée. Tu te baissa et déchira volontairement ta robe. Elle était d'un blanc presque transparent et très moulant. Ton patron voulais que tu accomplisse tous les jours ces gestes car sa montrais aux clients que tu était prête pour eux... Tu en avais ras le bol de tous sa ! Mais tu savais que si tu démissionnais, ton patron essayera de tout faire pour te virer de chez toi... Tu allas ouvrir, d'un pas gracieux la porte. Les hommes rentrèrent en trombe, certains, prenant le temps de te toucher les fesses ou d'essayer de t'embrasser, mais tu les évitais a ce moment là, ni vu ni connu. Il abandonnèrent. C'est alors que l'un d'eux fis ce que jamais aucuns n'avaient osés. Il marcha sur la partie déchirée de ta "robe" en la déchirant encore plus. Elle dévoila ta poitrine ainsi que tes parties intimes. Tu lui jeta un regard noir avant de déchirer quelques bandes pour te cacher la poitrine et l'entre jambe. Ta robe était devenue un simple tissu accroché pour te cacher, dévoilant ton ventre plat et ses cuisses. Les hommes éclatèrent de rire.Et là... silence complet... tous regardaient vers la porte d'entrée... Une ombre se dessina, elle était fine, plutôt grande... Une jeune femme d'a peu près ton age entra... Elle était blonde, tu vit que ses oreilles étaient pointues et longues. Une Elfe, elle était très belle. Dans sa tenue de guerrière, elle avança d'un pas sourd jusqu'à une table. Elle s’assied. Tu la regarda. Elle était sure d'elle, une expression durs sur le visage. Tu accourus gracieusement a l'endroit où elle s'était installée.

« Puis-je vous servir quelque chose ?» Demandas-tu d'un voix douce.

Pahh ! Paahh ! On t'entendait te battre à plusieurs mètres à la ronde... Face à face. Donnant des coups d'épée farouche dans l'abdomen, les bras, les épaules, la tête. Mais surtout pas les jambes... Tu n'es pas déloyale. Les coups bas sont pour les faibles ! Surtout que ton pantin n'en a pas... Tu es à l’affût, le moindre bruit t'arrête. Tu te méfie. Le regard noir pointé à droite puis se déplace doucement à gauche.. Pour frapper de plein fouet le milieu de sa tête !  D'un coup vif de la tête, tu replaces tes mèches rebelles. Le pantin détruit, il n'a plus grande importance pour toi. Sournoisement, tu tournes les talons pour t'en aller, l'épée sur l'épaule. Au plein milieu de l'herbe sèche tu avances en direction du village.Après quelque minutes de marches intensives, tu vois apparaître au loin des habitations. Bingo ! Tu souris de satisfaction mais toujours les sourcils froncés et les yeux en amandes à cause du soleil. Il est face à toi. Cette boule jaune et brûlante. Qui sait ce qu'elle contient.. Surement un immense trésor.. Qui n'aurait pas de prix tellement il serait fameux. Tu en rêverais, hein ? Bien sûr que non.. Tu n'en a que faire de la fortune... Le combat est ta seule volonté. Dans ta p*tain de vie, une seule chose te permet de ne pas tomber et abandonner. C'est te battre pour aller mieux. « Quel ordure.. » à longueur de journée tu te répète cela en pensant encore et encore à cet idiot que tu as jadis tant aimé.. Que tu étais naïve. Mais tu ne l'es plus aujourd'hui. Tu te méfies de tout et tu ne feras jamais plus confiance à personne. Tu es aussi hanté par l'idée que si tu lui avais offert quand il l'avait voulu, cette foutu virginité, tu n'aurais pas subi toutes ces atrocité. Cette idée te fis taper du pied. Tu voulais tout casser. Tu donnerais n'importe quoi pour oublier ton passé... Tu y penses chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde.. Ça te pourrit ta vie ! T'en as marre... C'est insupportable ! Tu ravalas ta salive et tu repris route. Regardant le paysage. Ah ? Tu n'avais jamais vu cet arbre ici. Étrange. Tu t'en r'approchas vite fait. Il était aussi grand et majestueux que quoi. Des feuilles vives, un tronc en bon état. Il était tout jeune. A côté, se promenait un petit court d'eau à l'eau clair. Tu te penchas délicatement et pris de tes deux mains le liquide pure et incolore. Avec grâce, tu mis tes deux mains sur le bout de tes lèvres et fis verser l'eau. Fermant sagement les yeux pour les rouvrir une seconde plus tard. Tu te frottas les lèvres mouillée avec le dos de ta main, repris ton épée dans la main et repartit. Tu n'étais pas prête d'arriver si tu t'arrêtais toutes les deux minutes. Tu n'étais pas pressé, ça ne te dérangeais pas.
Arrivée aux frontière du village, deux gardes t'arrêtèrent.
« _ Halte ! Qui es-tu ? »
Tu haussas blasée les sourcils pour répondre ingratement.
«_ Hunter. Princesse guerrière des elfes. Laisse moi passer ou je te tranche la tête. Ignoble personnage. »
L'autre fronça les sourcils et voulu s'avancer pour t'attraper mais celui à qui tu avais porter ces mots l'arrêta. Il le poussa un peu et te laissa passer en s'inclinant. Tu ne pus t'empêcher de lâcher un « idiot » quand tu fus passer. Il l'avait entendu mais il n'avait rien dit... A ce moment précis, tu te sentis enfin puissante. Enfin..
Tu avançais dans le village, observant le moindre petit détail. Il y avait boulangerie, pâtisserie, confiserie, boucherie, épicerie, hôtels, boutiques diverses et variées, bibliothèques, le marché était présent, aussi. L'on pouvait voir le château aussi. Et il.. Oh, une auberge ! Tu t'arrêtas devant et sentis ton ventre gargouiller. Une grimace honteuse se traça sur ton visage. Tu te décidas enfin mais tu vis une foule d'homme de toutes races devant l'entrée. D'un courage sans pareil, tu leur passa devant pour entrer. Tu te fis huer et siffler aussi mais que faire.. Tu t'en fiche. Devant toi, une femme d'une vingtaine d'année plutôt jolie qui venait de se faire déchirer la robe. Tu poussas l'homme coupable pour passer et regardas dans les yeux la demoiselle. Sans tarder, tu passas devant elle et allas t’asseoir à une table plus loin. Des cheveux verts? Mmh. Intéressant. La même taille toi,à peu, près le même poids mais plus de poitrine. Elle ne devait pas avoir une vie facile. Elle te paraissait si.. Vulnérable. Tu aurais presque envie de l'aider. C'est alors qu'elle se précipita vers toi. Et c'est d'une voix douce et agréable qu'elle t'adressa la parole.
« Puis-je vous servir quelque chose ?»
Tu retournas ta tête brusquement vers elle et la regardas avec une regard noir. Ton regard habituel, quoi. Sans un sourire, le visage froid tu hochas la tête tendit que tu entendais les mâles de toutes races vous sifflez. Tu fis une grimace agacée et te levas brusquement. Un dernier regard pour la demoiselle.
« Le plat du jour, s'il vous plaît. »
Tu quittas le beau visage de la charmante pour t'approcher devant le premier gars.Tu te penchas vers lui, les mains sur les hanches, le regard sournois. Il essaya de t'embrasser mais tu le giflas, répugnée. Il était évident qu'il était complètement bourré.
« Dis moi grand gaillard, qu'est-ce que tu viens de te permettre ? »
Tu te relevas et brandis ton épée. La mains droite sur la hanche, l'autre au niveau du coup de l'insolent. Il ravalas sa salive, d'un coup et te regardas apeuré dans les yeux. Tu frottas ton épée sous son cou, sans appuyer. Tous avaient le souffle coupé. D'un sourire sadique tu lui dis :
« Eh n'es pas peur. Ahaha. Pauvre idiot. J'te tuerais pas. J'ai d'autres choses à tuer, plus intéressantes surtout. »
Tu tournas les talons pour te rasseoir à ta place. Et regardas la jeune demoiselle dans les yeux. Ton visage neutre était revenu.

HRP:

« L'arrivée Innatendue...»
Hunter ~ Hadock ~ Edrick ~ Apy

              « Le plat du jour, s'il vous plaît. »

Tu partis d'un pas gracieux jusqu'à entendre les exclamations surprises des hommes... Tu te retournas en hate, voulant savoir ce qui les surprenais tant, et tu vis l'Elfe, épée en main, sous le cou d'un des clients. Tu la regardas avec Admiration...

« Dis moi grand gaillard, qu'est-ce que tu viens de te permettre ? »

Elle s'était penchée devant lui, l'oeil malicieux... Tu était tellement absorbée par cette scène que tu ne vis même pas entrer un homme...

« Eh n'es pas peur. Ahaha. Pauvre idiot. J'te tuerais pas. J'ai d'autres choses à tuer, plus intéressantes surtout. »

Quel dommage ! Tu aurais tellement voulue que cette Elfe mette une bonne raclée au client, qu'il se calme un peu... Tu pris la commande que la jeune adulte avait passer et t’avança vers elle, toujours aussi gracieuse... ce n'est qu'a ce moment là que tu vis l'homme... Il était grand, très grand... brun, les cheveux long, a peu près aux épaules... et barbu. Il n'avait pas l'air d'être là pour toi, et tu en fut soulagée ! Tu avança vers lui d'une marche aussi gracieuse soit-elle, ne t'occupant même pas des autres clients, qui clamaient l'envie de leur boisson, tous plus bourrés les uns que les autres...

« Bonjour, Puis-je prendre votre commande ? »

Ta voix était douce et calme. Pour une fois qu'un homme n'avait pas l'air de venir pour toi... Tu était plus rassurée que jamais, et ne parlait pas sur ce ton de "Va te faire foutre"...

Vivement, tu tournas la tête vers un nouvel arrivant. Celui-ci était calme, fier, tu le regardas, le visage froid. Tu le suivis du regard. Il devait avoir environ la trentaines mais son visage était plutôt marqué. Surement un compagnon de guerre, son visage t'avais l'air.. si familier que cela te surpris. Jamais tu ne revoyais les personnes que tu avais rencontré sur le champs de bataille. Était-ce une erreur ? Sans doute. Tu étais la seule femme à te battre pour ta patrie, mais nous ne pouvions rien te refuser, lorsque tu voulais quelque chose tu l'obtenais. Déjà car tu étais princesse, enfin, tu t'en moquais, pour toi c'est parce que tu étais forte, puissante et que les hommes avaient peur de toi ou alors ils te respectaient. Mais pas seulement, ils t'admiraient aussi, tu était une amie, comme un homme mais avec des formes beaucoup plus généreuses et attirantes. Les traits du visages fins et élégant, ton corps svelte et robuste à la fois.. Une jeune femme tout aussi charmante qui les enchantait pour avoir ce qu'elle souhaitait, enfin, c'était ton dernier recourt..
Tu le regardait arriver, comme un ennemi juré avec qui la dernière rencontre ne c'était pas bien passé... Soudain, tu crus le reconnaître, un certain dénommé Hadock peut-être. Un bon ami que tu t'était fait il y a une ou deux années. Mais tu ne dis rien, préférant garder le silence. Tu n'étais pas le genre de personne à courir après tout le monde. Tu attendras patiemment qu'il vienne peu à peu à toi car si tu l'as reconnu, il ne tardera pas à faire de même.
La jeune serveuse se précipita toujours gracieusement à la venue d'Hadock, voulant prendre sa commande. Elle devait déjà plus lui faire confiance qu'aux autres personnages violents et pervers. Il avait le visage calme, il ne devait chercher que la tranquillité et non pas la compagnie d'une jolie demoiselle dans un lit orné de soie et de dentelles délicates, ah ça non.
D'une voix alors délicate, elle lui accorda ces quelques mots...
« Bonjour, Puis-je prendre votre commande ? »
Déjà, la façon dont elle s'adressait à lui était très visiblement différente. Tu l'avais remarqué, Hunter, ainsi que la foule derrière le seuil de la porte... D'ailleurs, ils s'agitèrent à ces douces paroles, jaloux. Tu les méprisais, ils te rappelait l'esprit malsain et pervers de la personne que tu prénommais « ordure ». Tu aurais donner n'importe quoi pour que ce soit toi qui lui ôte la vie... Pendu ? Ce n'était pas assez à ton goût, pas pour ce qu'il t'avais fait subir. Ô Non ! Pour toi, rien n'aurait pu égaler ta souffrance. Pourtant, ça aurait pu être pire, mais le dégoût et la colère te faisait oublier la douleur, souvent dix fois plus forte que la tienne, des autres. Certains mourront de faim, torturés à tord, enlevés, jamais retrouvés et pourtant encore vivants... Mais rien ! Rien pour toi n'était pire qu ces 30 jours de souffrance, enfermée, violée, mal nourrie. Une vie qui se résumait à la douleur aussi bien mental que physique.

« L'arrivée Innatendue...»
Hunter ~ Hadock ~ Edrick ~ Apy

              « Je vais prendre un ours au miel avec une pinte de cervoise, merci. »

Tu partis d'un pas lent et gracieux aux cuisines pour preparer la commande de ce client. Tu étais heureuse, pour une fois, un homme ne t'avais pas traiter comme une chienne ! Tu te rendis conte qu'un homme était arrivé pendant que tu t'occupais de l'homme. Tu pris la cervoise et laissa cuire la commande. Tu allas jusqu'à la table de l'homme et lui donna la cervoise en esquissant un sourire. Puis, tu te tournas vers le nouvel arrivant...

« Puis-je prendre votre commande monsieur ? »

D'une voix douce, ce fut ce que tu lui dis. Tu ne l'avais encore jamais vus ici, et il n'avais pas l'air lui non plus d'être l'un de ses idiots de salopards qui ne désiraient qu'une chose: Une chambre avec vue sur la serveuse !
Tu tournas la tête vers l'horloge... Il était l'heure. Tu donnas la carte a l'homme et te dirigea d'un pas gracieux mais vif vers les cuisines. Tu pris le plat du client qui avait demander l'ours au miel. Tu te dirigea très vite vers l'homme qui l'avait commander et lui posa sur la table en souriant. Puis, tu te dirigea plus rapidement vers le comptoirs. Tu pris une bouteille et la cogna quelques fois contre le bar en bois et attendis le silence...

« Que tous ceux qui desirent une chambre viennent immédiatement devant le comptoir pour le dire et demander tous rajouts éventuels pour votre nuit ou votre séjour passé ici... »

Tu savais ce que voulais dire la dernière phrase... Mais tu ne flancha pas pour autant et resta bien droite, bien que la fatigue te faisait un mal de chien au bas du dos... Tu attendais là, voyant les hommes se lever et se diriger vers le comptoir... Ils étaient nombreux... Tu ne pu retenir une grimace.

Ô que de choses se passaient cet soirée, tu en avais même oublié pourquoi tu avais franchi le seuil de la porte. Les yeux regardant le vide, tu montais à ta bouche ta fourchette ornée d'un bout de viande accompagnée de sauce brute, tout en soupirant. Mais tu n'as le temps de pouvoir finir ta bouchée qu'un courant d'air affreux vint te frôler la nuque, encore un nouvel arrivant. Agacée, tu ne daignas pas regarder, non, finissant chaleureusement ta bouchée tandis que ton ami s'approchait. Observant ton repas, tu émettais d'une voix plus voix plus froide que jamais, même si cela n'était point voulu :

« - Mes salutations, Hadock ? »

Enfin, tu tournas ta tête et le défiguras, les yeux perçant. Mais tu t'adoucis, laissant échapper un léger sourire à ton ami. Tu lui fis signe de s'asseoir pendant que plantais ta fourchette dans un bout de carotte trop cuit.
Tandis que tu refaisais connaissance avec ce Hadock, le "nouvel arrivant" s'était placé à la table derrière vous, muni d'une cape le cachant tout entier et toujours pressée, la jeune femme vient demander sa commande. Tu souris. Elle t'amusait. Toute pressante, comme si l'auberge aurait dut ouvrir une heure plus tôt. Tu la voyais fatiguée, agacée d'une fois encore ouvrir la porte à tant de pervers, toujours la robe déchirée. Tu la regardais, toujours plus admirative, il était vingt heures trente et la voilà qu'elle se plaçait derrière le comptoir, laissant entrer la foule d'homme, attendant leur commande. Des commandes spéciales, celles d'un long ou court séjour avec les serveuses de l'auberge.

« - Que tous ceux qui desirent une chambre viennent immédiatement devant le comptoir pour le dire et demander tous rajouts éventuels pour votre nuit ou votre séjour passé ici... »

Aux dernière paroles, tu jetas un coup d’œil à l'homme, devant toi, un très court coup d’œil, où il se dirigea après vers les hommes, avec des sourires pervers aux lèvres. Tu pouffas. Ils rigolaient et étaient en compétition, se ruant au comptoir pour être surs d'avoir la serveuse qu'ils voulaient, en l’occurrence, celle derrière. Celle qui ne pouvait retenir cette grimace, si représentative, celle du dégoût. Alors une question te tourmentas : Pourquoi faisait-elle cela si cela ne lui plaisait pas ? Si elle était si dégoûtée ? Tu ne pus t'empêcher de penser une fois de plus à qui vous savez...